Orthopédie

Agit sur les bases osseuses, de ce fait, elle s’adresse à des patients en période de croissance entre 9 et 13ans où il est possible de corriger un déficit de croissance d’un des maxillaires (d’une des machoires) et d’en stimulé la croissance, ou de modérer une croissance excessive, et ce, dans le but de dimuner le décalage entre le maxillaire et la mandibule et de les remettre en position équilibrée.

  • Cette thérapeutique fait appel à des appareil fonctionnelsamovible pour la plus part soliscitant la coopération du patient. 
  • Pour une efficacité optimale, ces appareils doivent être portés, en moyenne, de 8 à 10 mois, 14 heures par jours.
  • L’action orthopédique peut s’exercer aussi bien :

au maxillaire (mâchoire supérieure) : pour solisciter sa croissance sagittalement (vers l’avant) en cas de classe III ou transversalement en cas de maxillaire étroit.

    à la mandibule (mâchoire inférieure) : déverouiller l’occlusion et favoriser le potentiel de croissance en cas de classe II ou modérer et réorienter une croissance excessive en cas de classe III.

    Avec comme principale composante le rétablissement de fonctions oro-faciales (déglutition, mastication, phonation..etc.) équilibrées avec arrêt des habitudes pérnicieuses (succion de pousse, tétine…etc.) Cette phase prépare le terrain à une étape ultérieure qui est l’orthodontie proprement dite.

Cas N°1 :

Cas N°2 :

La stimulation orthopédique à permis la réduction du décalage entre les deux maxillaires et la normalisation des rapports d’arcades ainsi que l’aménagement de l’espace pour la mise en place de la canine mandibulaire.

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